Je ne crois pas qu’il soit sain d’organiser un texte de fiction dans le but de se rendre accessible, ni de devoir s’atteler à telle ou telle démonstration poussive de ce que l’on pense et ressent.

Le tain du miroir des êtres suffit. Leur pensée doit s’y refléter et non être accrochée aux moulures du cadre comme une étiquette informative du prix, de la taille et du modèle. La philosophie extirpée hors du corps qui la porte devient creuse et inanimée. Ces « romans virtuels » sont pour moi une façon de lire transversalement ce site au travers de certaines de ses pages. Nul besoin d’en isoler les feuillets pour y faire son chemin de fiction si on le souhaite. C’est à mes yeux, tout le caractère et le potentiel d’une écriture propre au Web.

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